Si nous connaissons à la fois les tenants et les aboutissants, à la fois les causes et les conséquences, qu’est-ce qui nous empêche de changer, de sortir de ce cercle vicieux ? C’est tout l’enjeu de la période. Et les forces du renoncement, du statu quo et du retour en arrière fourbissent leurs armes pour mieux éteindre la vague de changement qui se propage, des jeunes générations aux plus anciennes.
Culpabiliser la population ? Danger
Les discours, d’Emmanuel Macron et de la majorité présidentielle, sur l’Union sacrée de tout le champ politique et la responsabilité de ces mauvais citoyens qui ne respectent pas à la lettre le confinement sont dangereux. Non seulement parce qu’ils détournent le regard des responsabilités réelles, mais en outre parce qu’il exempte le gouvernement de mesures de sortie de crise capables d’éviter que cette situation ne se reproduise.
De l’écologie populaire ?
Notre incapacité à faire le lien, qui se traduit dans le recours à cette expression, est en soi le symptôme de notre incapacité à faire sortir l’écologie des milieux convaincus, confinés. Cette cécité sociale, cette cécité collective, impose de reprendre cette terminologie, pourtant contradictoire, d’écologie populaire. De fait, l’expression devient un outil de réappropriation.
Ghosn : inégalités sociales et environnementales, mêmes ennemis
Ghosn est un des plus grands représentants de ce monde des ultra-riches, défini par son entre-soi communautariste (Pinçon-Charlot, Talpin), des capitalisations de fortunes aussi importantes que des budgets de régions ou d’états et des méthodes[…]
« Comment sourire quand on voit l’horreur qui se profile ? » une victoire de fiel
Entre sourire et larmes, c’est l’esprit de cette soirée de suivi des résultats au siège du HDP de Diyarbakir. De longues heures d’angoisse, des sueurs froides, et une liesse populaire à l’annonce des premiers résultats[…]