Notre incapacité à faire le lien, qui se traduit dans le recours à cette expression, est en soi le symptôme de notre incapacité à faire sortir l’écologie des milieux convaincus, confinés. Cette cécité sociale, cette cécité collective, impose de reprendre cette terminologie, pourtant contradictoire, d’écologie populaire. De fait, l’expression devient un outil de réappropriation.
Auteur : Sandra Regol
Ghosn : inégalités sociales et environnementales, mêmes ennemis
Ghosn est un des plus grands représentants de ce monde des ultra-riches, défini par son entre-soi communautariste (Pinçon-Charlot, Talpin), des capitalisations de fortunes aussi importantes que des budgets de régions ou d’états et des méthodes[…]
« Comment sourire quand on voit l’horreur qui se profile ? » une victoire de fiel
Entre sourire et larmes, c’est l’esprit de cette soirée de suivi des résultats au siège du HDP de Diyarbakir. De longues heures d’angoisse, des sueurs froides, et une liesse populaire à l’annonce des premiers résultats[…]
“Pour des raisons de sécurité” – un vote sous haute tension
Immersion dans les bureaux de vote de la région de Diyarbakir : bye bye démocratie. Dans une démocratie, le pouvoir repose sur la logique des contre-pouvoirs. Afin de se protéger des propres dérives possibles, le[…]
“Vous faites quoi, à part nous laisser mourir ?”
Première journée à Diyarbakir et premier bilan, celui d’une certaine honte à être encore une fois, en tant qu’Européenne, spectatrice des souffrances d’un peuple. A chaque élection, nous nous relayons, nous associatifs, activistes, syndicalistes, politiques,[…]